(je rebondis sur la romance en délaissant le sujet de qui-paye, car j'ai tout dit là-dessus et que c'est rigolo de faire du tiroir-à-discussion ^^)
Citation :
Je préfère moins de romance tous les jours si ça baisse le nombre de viols et d'agressions sexuels.
Oh oui, on le voit bien que depuis l'anglosaxonisation des relations, y a beaucoup moins d'agressions et de viols. :{
Dégénérés d'américains, j'ai idée en plus que lorsqu'on offre un bout d'auriculaire, on demande le poignet, avant de demander l'avant-bras et de demander tout le bras. Le jour où "cool, on verbalise enfin l'officialisation que c'est une date !", on aura derrière "il faut officialiser le bisou", puis "le consentement de pénétration" et on a "l'application qu'il faut signer mutuellement avant de copuler, pour bien acter qu'il y avait consentement"...et j'ai idée qu'on invente derrière la réécriture post-acte "j'étais consentante mais plus après !!", faut signer entre chaque position, puis on a le consentement rétroactif, la réécriture des années après "lorsque j'ai su en 2014 que c'était un player, j'ai réévalué mon consentement donné en 2008 et je m'aperçois que c'était un viol !", Stephane Edouard & co.
Le "Bienvenue à Gattaca" de la rencontre.
Tu passes le portique, tu signes en bas de l'appli et à partir de là, et seulement à partir de là, commence *dzzz o_o* la *dzz dzz o_o* relation entre humains *dzzz o_o".
A l'opposé de ce Gattaca sentimental, il y avait la romance à la française qui enserrait l'espace du "peut-être". Ce n'est pas le "oui/non", à savoir "oui tu me plais car tu es beau et bien friqué - puisque tu n'as pas eu le temps de te mettre en avant" / "non tu ne me plais pas, car tu es moche et pauvre" : l'espace du "peut-être" est un espace où le "non" originel peut se transformer en "oui" à la suite de la tchatche, de la discussion culturelle, de la séduction...et où, aussi, évidemment, le "oui trop bogosse <3" peut se transformer en "non" parce qu'en fait, il est con.
L'espace du "peut-être". Le flou artistique et romantique.
La zone du mystère qui fait vibrer les êtres.
C'est pas du chinois qui se met en couple suivant les intérêts financiers.
Alors nous voilà, on va pousser à fond la "Gattaca anglosaxonne date-consentement verbal sous appli" des relations parce que sur le papier, ça fera moins de viol, et dans les faits, on aura des migrants sous cracks, des momos la grosse merde et des kiki le jacky bourré à Vesoul qui continueront de faire péter toutes les stats de viols en mettant leur pénis dans des vagins de force sur le parking, "nique sâââ mère l'application" mais Thomas et Julien niqueront leur chance d'installer une romance en signant l'appli du consentement dans leur chambre d'étudiant. Et Justine leur en voudra toujours inconsciemment d'avoir été si cuck pour avoir consenti à stopper le baiser voluptueux pour sortir le smartphone de la table de chevet. Peut-être, se dit-elle entre 2 porn seule sous les draps, qu'un bon BBC la fera enfin vibrer car il agira sans sortir "l'appli du consentement" au moment où ses fibres s'enflammeront. Ooooh pourvu qu'il reste des hommes, se dit-elle alors que ses doigts joueurs lui font monter l'orgasme...
La "date froide et officialisante" à l'américaine qui va faire baisser les agressions sexuelles et stabiliser les rapports homme-femme : encore une vue de l'esprit wokiste des accros à la théorie dans les théories hors-sol.